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Pas besoin d'être sorcier pour être sourcier !

Peu de gens connaissent le rôle du géobiologue, mais dès que l'on signale que le travail du géobiologue ressemble un peu à celui du sourcier, là tout de suite, les sourcils se lèvent, le regard s'éclaire...on imagine un peu. Et une image traverse notre esprit. Bien souvent elle représente un pépé en pantalon de velours, casquette vissée sur la tête, une baguette de coudrier (noisetier ou saule) dans les mains et parfois jetant quelques cailloux par terre, arpentant un terrain, tête baissée, à la recherche de l'eau, précieuse.




Car c'est vrai, comme le sourcier, le géobiologue utilise la technique de "détection sensible" ou "radiesthésie" pour révéler l'eau cachée là, sous nos pieds. D'ailleurs il n'est pas rare que des géobiologues soient aussi sourciers (l'inverse étant moins évident!).

Passés les détails vestimentaires, le travail du géobiologue ou du sourcier moderne reste relativement identique.


Voici le récit d'une recherche d'eau réalisée il y a peu:

Monsieur A. m'appelle. Il fait construire près de 2 hectares de serres à Saulce-sur-Rhône afin d'y produire des kiwis jaunes. Et il a besoin d'eau. Il a prévu un rendez-vous avec un foreur et me contact un peu en catastrophe et me demande de venir avant le foreur, c'est à dire, très vite. Deux hectares, croyez-moi, c'est long à arpenter. Je lui demande alors un plan cadastrale afin de travailler à distance pour gagner un peu de temps et limiter le temps de recherche sur place. Ça évidemment, les anciens sourciers n'avaient pas accès aux plans cadastraux si facilement qu'aujourd'hui, et encore moins à Google Hearth !

Je réalise donc mon étude à distance sur plan.

Sans rentrer précisément dans les détails, pour ce travail, il suffit de se connecter parfaitement au lieu que l'on étudie (il faut s'aider pour cela, de plans, de photos, de vues aériennes et d'une concentration certaine). En se "connectant" au lieu, il est possible de recevoir les informations énergétiques du lieu comme si on y était ! C'est tout a fait quantique comme expérience ! Difficile à expliquer scientifiquement, pourtant, c'est ce qui se joue réellement. On interroge donc le plan comme on interroge le lieu dans la réalité.

Et voilà ce que ça donne:

Un aquifère, un passage d'eau et un point de forage potentiel.



Le travail au pendule, à distance, permet d'obtenir des indications justes mais peu précises, notamment sur la localisation du point de forage. Il convient alors de se déplacer pour confirmer les informations préalablement relevées et préciser le point de forage qui ne représente à la surface du sol que 50 cm² environ. Il est important alors de trouver le meilleur endroit pour le forage. C'est à dire, le meilleur débit pour la profondeur la plus faible. Monsieur A. avait calculé son besoin en eau qui s'élevait à 25 m3/h. Ce qui est énorme ! Je ne pense pas trouver un jour une telle quantité d'eau souterraine. Mais, le passage d'eau trouvé ajouté à l'aquifère, j'estimais un potentiel de 10m3/h ce qui était déjà pas si mal. Tout ça à 30 m de profondeur.

Le foreur est venu. Il a creusé à l'endroit indiqué, 30 m. Et sort désormais du forage de l'eau pour un débit 13m3/h !! Sachant que ce travail a été réalisé à la fin d'un été sec, Monsieur A. pourra sans nul doute, profiter de plus d'eau cet hiver.

Voici ses remerciements:


"Monsieur MONIER Bruno est intervenu le samedi 3 septembre sur notre site situé à Saulce sur Rhône. Nous l'avons contacté la veille. Nous avons apprécié sa réactivité et disponibilité. La suite ne nous a pas déçu car ses remarques sur l'emplacement d'une poche d'eau sur le terrain se sont avérées exactes. Nous ne pouvons que recommander ce professionnel pour son sérieux et sa compétence. Le 14/09/2016 Cordialement Augustin A."

un client content = un géobio content !

Pour toute question ou remarque, rendez-vous sur mon site :

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